Zelda Densetsu
Zelda gameplay on Game & Watch.
updated 12 years ago
#NintendoSwitchOnline #NintendoSwitch #Zelda
#NintendoSwitchOnline #NintendoSwitch #Zelda
A The Legend of Zelda: Tears of the Kingdom themed Nintendo Switch Pro Controller and Carrying Case will also launch alongside the game on May 12th.
#Zelda #TearsOfTheKingdom #NintendoSwitchSubscribe
En la secuela de The Legend of Zelda: Breath of the Wild, tú decidirás tu propio camino a través de los extensos campos de Hyrule y las misteriosas islas flotantes en el vasto cielo. ¿Podrás tomar ventaja del poder de las nuevas habilidades de Link para luchar en contra de las fuerzas malévolas que amenazan al reino?
Mira el nuevo tráiler para conocer cuál es la última misión que Link tiene en el horizonte, incluye armas nunca antes vistas y vehículos misteriosos…
Este tráiler se puede disfrutar con sonido surround 5.1 en dispositivos compatibles. Cómo activar el sonido surround 5.1 en
#NintendoSwitch #TearsOfTheKingdom
This performance was pre-recorded in Tokyo, Japan, and was originally planned as part of Nintendo Live 2024 TOKYO.
01:03 – Tears of the Kingdom: Main Theme (Reprise)
03:57 – The Ballad of the Goddess
06:11 – Zelda’s Lullaby
09:13 – Link’s Awakening Medley 2024
13:27 – Breath of the Wild: Main Theme
15:33 – Hyrule Castle
17:42 – Breath of the Wild: 2017 Nintendo Switch Presentation Trailer
21:15 – Ocarina of Time: Kakariko Village
24:19 – The Legend of Zelda Main Theme
#Zelda #TearsOfTheKingdom #Switch
#Zelda #TearsOfTheKingdom #Switch
The Legend of Zelda: Tears of the Kingdom fera son arrivée le 12 mai sur Nintendo Switch.
#Zelda #TearsOfTheKingdom #NintendoSwitch
#Zelda #TearsOfTheKingdom #NintendoSwitch
Le mal frappe à nouveau Hyrule dans cette dernière bande-annonce de The Legend of Zelda: Tears Of The Kingdom, disponible le 12 mai sur Nintendo Switch.
#Zelda #TearsOfTheKingdom #NintendoSwitch
In this sequel to The Legend of Zelda: Breath of the Wild, you’ll decide your own path through the sprawling landscapes of Hyrule and the mysterious islands floating in the vast skies above. Can you harness the power of Link’s new abilities to fight back against the malevolent forces that threaten the kingdom?
Watch the latest trailer to see what Link’s latest quest has in store, including never before seen weapons and mysterious vehicles…
#NintendoSwitch #TearsOfTheKingdom
#Zelda #NintendoSwitch
#LegendofZelda #TearsoftheKingdom #NintendoSwitch
En savoir plus : https://www.nintendo.fr/Divers/Game-Watch-The-Legend-of-Zelda/Game-Watch-The-Legend-of-Zelda-2039375.html
#Zelda #GameandWatch
Available now: nintendo.com/products/detail/game-and-watch-the-legend-of-zelda
Play The Legend of Zelda, Zelda II: The Adventure of Link, The Legend of Zelda: Link’s Awakening (Game Boy Version), and a special Game & Watch edition of VERMIN (Link Version)! It also has a playable clock and timer!
#Zelda #NintendoDirect #NintendoSwitch
#Zelda #SkywardSwordHD #NintendoSwitch
Cette série d’animation est l’adaptation de The Legend of Zelda, une des plus célèbres séries de jeux vidéo dont le design a été développé par Shigeru Miyamoto et Takashi Tezuka pour la marque japonaise de console de jeux vidéo, Nintendo. Pour être précis, la série s’inspire du premier jeu sorti sur NES, The Legend of Zelda, mais on trouve également quelques références au second jeu Zelda II: The Adventure of Link.
Outre les personnages principaux, on retrouve les quelques vilains des jeux ainsi que de nombreux objets comme les rubis, la flûte ou encore l’épée par laquelle Link peut envoyer des rayons magiques qui font disparaître les ennemis touchés. Les sons et les célèbres thèmes musicaux ont aussi été adaptés pour la série, ce qui permet de retrouver toute l’ambiance des jeux.
La différence notable dans cette adaptation se situe au niveau de certains personnages. Le Roi fait son apparition (on ne le voit pas dans les deux jeux) et les morceaux de la Triforce sont doués de parole. Zelda n’est plus la pauvre princesse à sauver - même si elle se retrouve parfois en mauvais posture - mais une femme courageuse prête à se battre quand il le faut avec son arbalète ou son arc à flèches magiques. La belle robe a ainsi disparu laissant place à une tenue plus décontractée de cavalière. Quant à Link, hormis la tâche qui lui est confiée, il ne cessera de chercher à conquérir le cœur de la belle Zelda en espérant d’elle un bisou. Quand il n’essuie pas un refus, un événement impromptu surgira toujours empêchant le pauvre Link d’avoir son baiser.
Ce sont toutes ces différences par rapport aux jeux vidéo ajoutées à des histoires dont les trames sont, en somme, toutes assez similaires d’un épisode à un autre qui ont fait que cette série d’animation n’aura pas obtenu un grand succès auprès des téléspectateurs et surtout auprès des fans. Ces derniers remarqueront que, comme dans le premier jeu vidéo, il n’est question que de deux morceaux de Triforce, celle de la Sagesse et celle de la Force. La Triforce du Courage n’apparaîtra qu’à partir de The Adventure of Link mais le dessin animé n’en parlera pas. À ce propos, selon les épisodes, ces diamants sont parfois appelés Triforce et d’autres fois Force Trois, un nom quelque peu douteux.
La série était une partie intégrante de Super Mario Bros. Ainsi tout comme le jeu vidéo homologue, chaque épisode bénéficiait d’une séquence introductive avec acteurs réels, en l’occurrence Mario et Luigi. Le générique de fin, quant à lui, était celui de Super Mario Bros avec quelques notes à part concernant le staff ayant travaillé spécifiquement sur Princesse Zelda. La série fut interrompue avec la fin du show de Mario si bien qu’il n’y a jamais vraiment eu de fin. Le dernier épisode de l’unique saison se finissant comme un épisode quelconque de la série.
Notons que les personnages de Ganon, Link et la princesse Zelda sont réapparus par la suite dans la série Captain N (Captain N: The Game Master), produite également par DIC, avec un design un peu différent toutefois.
En France, la diffusion de Princesse Zelda sur Antenne 2 (devenue France 2) aura été discrète mais remarquée. Deux cassettes VHS étaient sorties dans le commerce chez Polygram Vidéo mais aucun DVD n’est pour l’instant sorti en français.
Le doublage français du personnage de Zelda n’aura semble-t-il pas été simple puisqu'en seulement treize épisodes, la princesse a eu au moins quatre voix différentes. Elle pouvait même avoir deux voix différentes au cours d’un même épisode, entre sa voix dans le générique de début (identique visuellement mais rejoué à chaque fois) et sa voix dans l’épisode même.
Cette série d’animation est l’adaptation de The Legend of Zelda, une des plus célèbres séries de jeux vidéo dont le design a été développé par Shigeru Miyamoto et Takashi Tezuka pour la marque japonaise de console de jeux vidéo, Nintendo. Pour être précis, la série s’inspire du premier jeu sorti sur NES, The Legend of Zelda, mais on trouve également quelques références au second jeu Zelda II: The Adventure of Link.
Outre les personnages principaux, on retrouve les quelques vilains des jeux ainsi que de nombreux objets comme les rubis, la flûte ou encore l’épée par laquelle Link peut envoyer des rayons magiques qui font disparaître les ennemis touchés. Les sons et les célèbres thèmes musicaux ont aussi été adaptés pour la série, ce qui permet de retrouver toute l’ambiance des jeux.
La différence notable dans cette adaptation se situe au niveau de certains personnages. Le Roi fait son apparition (on ne le voit pas dans les deux jeux) et les morceaux de la Triforce sont doués de parole. Zelda n’est plus la pauvre princesse à sauver - même si elle se retrouve parfois en mauvais posture - mais une femme courageuse prête à se battre quand il le faut avec son arbalète ou son arc à flèches magiques. La belle robe a ainsi disparu laissant place à une tenue plus décontractée de cavalière. Quant à Link, hormis la tâche qui lui est confiée, il ne cessera de chercher à conquérir le cœur de la belle Zelda en espérant d’elle un bisou. Quand il n’essuie pas un refus, un événement impromptu surgira toujours empêchant le pauvre Link d’avoir son baiser.
Ce sont toutes ces différences par rapport aux jeux vidéo ajoutées à des histoires dont les trames sont, en somme, toutes assez similaires d’un épisode à un autre qui ont fait que cette série d’animation n’aura pas obtenu un grand succès auprès des téléspectateurs et surtout auprès des fans. Ces derniers remarqueront que, comme dans le premier jeu vidéo, il n’est question que de deux morceaux de Triforce, celle de la Sagesse et celle de la Force. La Triforce du Courage n’apparaîtra qu’à partir de The Adventure of Link mais le dessin animé n’en parlera pas. À ce propos, selon les épisodes, ces diamants sont parfois appelés Triforce et d’autres fois Force Trois, un nom quelque peu douteux.
La série était une partie intégrante de Super Mario Bros. Ainsi tout comme le jeu vidéo homologue, chaque épisode bénéficiait d’une séquence introductive avec acteurs réels, en l’occurrence Mario et Luigi. Le générique de fin, quant à lui, était celui de Super Mario Bros avec quelques notes à part concernant le staff ayant travaillé spécifiquement sur Princesse Zelda. La série fut interrompue avec la fin du show de Mario si bien qu’il n’y a jamais vraiment eu de fin. Le dernier épisode de l’unique saison se finissant comme un épisode quelconque de la série.
Notons que les personnages de Ganon, Link et la princesse Zelda sont réapparus par la suite dans la série Captain N (Captain N: The Game Master), produite également par DIC, avec un design un peu différent toutefois.
En France, la diffusion de Princesse Zelda sur Antenne 2 (devenue France 2) aura été discrète mais remarquée. Deux cassettes VHS étaient sorties dans le commerce chez Polygram Vidéo mais aucun DVD n’est pour l’instant sorti en français.
Le doublage français du personnage de Zelda n’aura semble-t-il pas été simple puisqu'en seulement treize épisodes, la princesse a eu au moins quatre voix différentes. Elle pouvait même avoir deux voix différentes au cours d’un même épisode, entre sa voix dans le générique de début (identique visuellement mais rejoué à chaque fois) et sa voix dans l’épisode même.
Cette série d’animation est l’adaptation de The Legend of Zelda, une des plus célèbres séries de jeux vidéo dont le design a été développé par Shigeru Miyamoto et Takashi Tezuka pour la marque japonaise de console de jeux vidéo, Nintendo. Pour être précis, la série s’inspire du premier jeu sorti sur NES, The Legend of Zelda, mais on trouve également quelques références au second jeu Zelda II: The Adventure of Link.
Outre les personnages principaux, on retrouve les quelques vilains des jeux ainsi que de nombreux objets comme les rubis, la flûte ou encore l’épée par laquelle Link peut envoyer des rayons magiques qui font disparaître les ennemis touchés. Les sons et les célèbres thèmes musicaux ont aussi été adaptés pour la série, ce qui permet de retrouver toute l’ambiance des jeux.
La différence notable dans cette adaptation se situe au niveau de certains personnages. Le Roi fait son apparition (on ne le voit pas dans les deux jeux) et les morceaux de la Triforce sont doués de parole. Zelda n’est plus la pauvre princesse à sauver - même si elle se retrouve parfois en mauvais posture - mais une femme courageuse prête à se battre quand il le faut avec son arbalète ou son arc à flèches magiques. La belle robe a ainsi disparu laissant place à une tenue plus décontractée de cavalière. Quant à Link, hormis la tâche qui lui est confiée, il ne cessera de chercher à conquérir le cœur de la belle Zelda en espérant d’elle un bisou. Quand il n’essuie pas un refus, un événement impromptu surgira toujours empêchant le pauvre Link d’avoir son baiser.
Ce sont toutes ces différences par rapport aux jeux vidéo ajoutées à des histoires dont les trames sont, en somme, toutes assez similaires d’un épisode à un autre qui ont fait que cette série d’animation n’aura pas obtenu un grand succès auprès des téléspectateurs et surtout auprès des fans. Ces derniers remarqueront que, comme dans le premier jeu vidéo, il n’est question que de deux morceaux de Triforce, celle de la Sagesse et celle de la Force. La Triforce du Courage n’apparaîtra qu’à partir de The Adventure of Link mais le dessin animé n’en parlera pas. À ce propos, selon les épisodes, ces diamants sont parfois appelés Triforce et d’autres fois Force Trois, un nom quelque peu douteux.
La série était une partie intégrante de Super Mario Bros. Ainsi tout comme le jeu vidéo homologue, chaque épisode bénéficiait d’une séquence introductive avec acteurs réels, en l’occurrence Mario et Luigi. Le générique de fin, quant à lui, était celui de Super Mario Bros avec quelques notes à part concernant le staff ayant travaillé spécifiquement sur Princesse Zelda. La série fut interrompue avec la fin du show de Mario si bien qu’il n’y a jamais vraiment eu de fin. Le dernier épisode de l’unique saison se finissant comme un épisode quelconque de la série.
Notons que les personnages de Ganon, Link et la princesse Zelda sont réapparus par la suite dans la série Captain N (Captain N: The Game Master), produite également par DIC, avec un design un peu différent toutefois.
En France, la diffusion de Princesse Zelda sur Antenne 2 (devenue France 2) aura été discrète mais remarquée. Deux cassettes VHS étaient sorties dans le commerce chez Polygram Vidéo mais aucun DVD n’est pour l’instant sorti en français.
Le doublage français du personnage de Zelda n’aura semble-t-il pas été simple puisqu'en seulement treize épisodes, la princesse a eu au moins quatre voix différentes. Elle pouvait même avoir deux voix différentes au cours d’un même épisode, entre sa voix dans le générique de début (identique visuellement mais rejoué à chaque fois) et sa voix dans l’épisode même.
Cette série d’animation est l’adaptation de The Legend of Zelda, une des plus célèbres séries de jeux vidéo dont le design a été développé par Shigeru Miyamoto et Takashi Tezuka pour la marque japonaise de console de jeux vidéo, Nintendo. Pour être précis, la série s’inspire du premier jeu sorti sur NES, The Legend of Zelda, mais on trouve également quelques références au second jeu Zelda II: The Adventure of Link.
Outre les personnages principaux, on retrouve les quelques vilains des jeux ainsi que de nombreux objets comme les rubis, la flûte ou encore l’épée par laquelle Link peut envoyer des rayons magiques qui font disparaître les ennemis touchés. Les sons et les célèbres thèmes musicaux ont aussi été adaptés pour la série, ce qui permet de retrouver toute l’ambiance des jeux.
La différence notable dans cette adaptation se situe au niveau de certains personnages. Le Roi fait son apparition (on ne le voit pas dans les deux jeux) et les morceaux de la Triforce sont doués de parole. Zelda n’est plus la pauvre princesse à sauver - même si elle se retrouve parfois en mauvais posture - mais une femme courageuse prête à se battre quand il le faut avec son arbalète ou son arc à flèches magiques. La belle robe a ainsi disparu laissant place à une tenue plus décontractée de cavalière. Quant à Link, hormis la tâche qui lui est confiée, il ne cessera de chercher à conquérir le cœur de la belle Zelda en espérant d’elle un bisou. Quand il n’essuie pas un refus, un événement impromptu surgira toujours empêchant le pauvre Link d’avoir son baiser.
Ce sont toutes ces différences par rapport aux jeux vidéo ajoutées à des histoires dont les trames sont, en somme, toutes assez similaires d’un épisode à un autre qui ont fait que cette série d’animation n’aura pas obtenu un grand succès auprès des téléspectateurs et surtout auprès des fans. Ces derniers remarqueront que, comme dans le premier jeu vidéo, il n’est question que de deux morceaux de Triforce, celle de la Sagesse et celle de la Force. La Triforce du Courage n’apparaîtra qu’à partir de The Adventure of Link mais le dessin animé n’en parlera pas. À ce propos, selon les épisodes, ces diamants sont parfois appelés Triforce et d’autres fois Force Trois, un nom quelque peu douteux.
La série était une partie intégrante de Super Mario Bros. Ainsi tout comme le jeu vidéo homologue, chaque épisode bénéficiait d’une séquence introductive avec acteurs réels, en l’occurrence Mario et Luigi. Le générique de fin, quant à lui, était celui de Super Mario Bros avec quelques notes à part concernant le staff ayant travaillé spécifiquement sur Princesse Zelda. La série fut interrompue avec la fin du show de Mario si bien qu’il n’y a jamais vraiment eu de fin. Le dernier épisode de l’unique saison se finissant comme un épisode quelconque de la série.
Notons que les personnages de Ganon, Link et la princesse Zelda sont réapparus par la suite dans la série Captain N (Captain N: The Game Master), produite également par DIC, avec un design un peu différent toutefois.
En France, la diffusion de Princesse Zelda sur Antenne 2 (devenue France 2) aura été discrète mais remarquée. Deux cassettes VHS étaient sorties dans le commerce chez Polygram Vidéo mais aucun DVD n’est pour l’instant sorti en français.
Le doublage français du personnage de Zelda n’aura semble-t-il pas été simple puisqu'en seulement treize épisodes, la princesse a eu au moins quatre voix différentes. Elle pouvait même avoir deux voix différentes au cours d’un même épisode, entre sa voix dans le générique de début (identique visuellement mais rejoué à chaque fois) et sa voix dans l’épisode même.
Cette série d’animation est l’adaptation de The Legend of Zelda, une des plus célèbres séries de jeux vidéo dont le design a été développé par Shigeru Miyamoto et Takashi Tezuka pour la marque japonaise de console de jeux vidéo, Nintendo. Pour être précis, la série s’inspire du premier jeu sorti sur NES, The Legend of Zelda, mais on trouve également quelques références au second jeu Zelda II: The Adventure of Link.
Outre les personnages principaux, on retrouve les quelques vilains des jeux ainsi que de nombreux objets comme les rubis, la flûte ou encore l’épée par laquelle Link peut envoyer des rayons magiques qui font disparaître les ennemis touchés. Les sons et les célèbres thèmes musicaux ont aussi été adaptés pour la série, ce qui permet de retrouver toute l’ambiance des jeux.
La différence notable dans cette adaptation se situe au niveau de certains personnages. Le Roi fait son apparition (on ne le voit pas dans les deux jeux) et les morceaux de la Triforce sont doués de parole. Zelda n’est plus la pauvre princesse à sauver - même si elle se retrouve parfois en mauvais posture - mais une femme courageuse prête à se battre quand il le faut avec son arbalète ou son arc à flèches magiques. La belle robe a ainsi disparu laissant place à une tenue plus décontractée de cavalière. Quant à Link, hormis la tâche qui lui est confiée, il ne cessera de chercher à conquérir le cœur de la belle Zelda en espérant d’elle un bisou. Quand il n’essuie pas un refus, un événement impromptu surgira toujours empêchant le pauvre Link d’avoir son baiser.
Ce sont toutes ces différences par rapport aux jeux vidéo ajoutées à des histoires dont les trames sont, en somme, toutes assez similaires d’un épisode à un autre qui ont fait que cette série d’animation n’aura pas obtenu un grand succès auprès des téléspectateurs et surtout auprès des fans. Ces derniers remarqueront que, comme dans le premier jeu vidéo, il n’est question que de deux morceaux de Triforce, celle de la Sagesse et celle de la Force. La Triforce du Courage n’apparaîtra qu’à partir de The Adventure of Link mais le dessin animé n’en parlera pas. À ce propos, selon les épisodes, ces diamants sont parfois appelés Triforce et d’autres fois Force Trois, un nom quelque peu douteux.
La série était une partie intégrante de Super Mario Bros. Ainsi tout comme le jeu vidéo homologue, chaque épisode bénéficiait d’une séquence introductive avec acteurs réels, en l’occurrence Mario et Luigi. Le générique de fin, quant à lui, était celui de Super Mario Bros avec quelques notes à part concernant le staff ayant travaillé spécifiquement sur Princesse Zelda. La série fut interrompue avec la fin du show de Mario si bien qu’il n’y a jamais vraiment eu de fin. Le dernier épisode de l’unique saison se finissant comme un épisode quelconque de la série.
Notons que les personnages de Ganon, Link et la princesse Zelda sont réapparus par la suite dans la série Captain N (Captain N: The Game Master), produite également par DIC, avec un design un peu différent toutefois.
En France, la diffusion de Princesse Zelda sur Antenne 2 (devenue France 2) aura été discrète mais remarquée. Deux cassettes VHS étaient sorties dans le commerce chez Polygram Vidéo mais aucun DVD n’est pour l’instant sorti en français.
Le doublage français du personnage de Zelda n’aura semble-t-il pas été simple puisqu'en seulement treize épisodes, la princesse a eu au moins quatre voix différentes. Elle pouvait même avoir deux voix différentes au cours d’un même épisode, entre sa voix dans le générique de début (identique visuellement mais rejoué à chaque fois) et sa voix dans l’épisode même.
Cette série d’animation est l’adaptation de The Legend of Zelda, une des plus célèbres séries de jeux vidéo dont le design a été développé par Shigeru Miyamoto et Takashi Tezuka pour la marque japonaise de console de jeux vidéo, Nintendo. Pour être précis, la série s’inspire du premier jeu sorti sur NES, The Legend of Zelda, mais on trouve également quelques références au second jeu Zelda II: The Adventure of Link.
Outre les personnages principaux, on retrouve les quelques vilains des jeux ainsi que de nombreux objets comme les rubis, la flûte ou encore l’épée par laquelle Link peut envoyer des rayons magiques qui font disparaître les ennemis touchés. Les sons et les célèbres thèmes musicaux ont aussi été adaptés pour la série, ce qui permet de retrouver toute l’ambiance des jeux.
La différence notable dans cette adaptation se situe au niveau de certains personnages. Le Roi fait son apparition (on ne le voit pas dans les deux jeux) et les morceaux de la Triforce sont doués de parole. Zelda n’est plus la pauvre princesse à sauver - même si elle se retrouve parfois en mauvais posture - mais une femme courageuse prête à se battre quand il le faut avec son arbalète ou son arc à flèches magiques. La belle robe a ainsi disparu laissant place à une tenue plus décontractée de cavalière. Quant à Link, hormis la tâche qui lui est confiée, il ne cessera de chercher à conquérir le cœur de la belle Zelda en espérant d’elle un bisou. Quand il n’essuie pas un refus, un événement impromptu surgira toujours empêchant le pauvre Link d’avoir son baiser.
Ce sont toutes ces différences par rapport aux jeux vidéo ajoutées à des histoires dont les trames sont, en somme, toutes assez similaires d’un épisode à un autre qui ont fait que cette série d’animation n’aura pas obtenu un grand succès auprès des téléspectateurs et surtout auprès des fans. Ces derniers remarqueront que, comme dans le premier jeu vidéo, il n’est question que de deux morceaux de Triforce, celle de la Sagesse et celle de la Force. La Triforce du Courage n’apparaîtra qu’à partir de The Adventure of Link mais le dessin animé n’en parlera pas. À ce propos, selon les épisodes, ces diamants sont parfois appelés Triforce et d’autres fois Force Trois, un nom quelque peu douteux.
La série était une partie intégrante de Super Mario Bros. Ainsi tout comme le jeu vidéo homologue, chaque épisode bénéficiait d’une séquence introductive avec acteurs réels, en l’occurrence Mario et Luigi. Le générique de fin, quant à lui, était celui de Super Mario Bros avec quelques notes à part concernant le staff ayant travaillé spécifiquement sur Princesse Zelda. La série fut interrompue avec la fin du show de Mario si bien qu’il n’y a jamais vraiment eu de fin. Le dernier épisode de l’unique saison se finissant comme un épisode quelconque de la série.
Notons que les personnages de Ganon, Link et la princesse Zelda sont réapparus par la suite dans la série Captain N (Captain N: The Game Master), produite également par DIC, avec un design un peu différent toutefois.
En France, la diffusion de Princesse Zelda sur Antenne 2 (devenue France 2) aura été discrète mais remarquée. Deux cassettes VHS étaient sorties dans le commerce chez Polygram Vidéo mais aucun DVD n’est pour l’instant sorti en français.
Le doublage français du personnage de Zelda n’aura semble-t-il pas été simple puisqu'en seulement treize épisodes, la princesse a eu au moins quatre voix différentes. Elle pouvait même avoir deux voix différentes au cours d’un même épisode, entre sa voix dans le générique de début (identique visuellement mais rejoué à chaque fois) et sa voix dans l’épisode même.
Cette série d’animation est l’adaptation de The Legend of Zelda, une des plus célèbres séries de jeux vidéo dont le design a été développé par Shigeru Miyamoto et Takashi Tezuka pour la marque japonaise de console de jeux vidéo, Nintendo. Pour être précis, la série s’inspire du premier jeu sorti sur NES, The Legend of Zelda, mais on trouve également quelques références au second jeu Zelda II: The Adventure of Link.
Outre les personnages principaux, on retrouve les quelques vilains des jeux ainsi que de nombreux objets comme les rubis, la flûte ou encore l’épée par laquelle Link peut envoyer des rayons magiques qui font disparaître les ennemis touchés. Les sons et les célèbres thèmes musicaux ont aussi été adaptés pour la série, ce qui permet de retrouver toute l’ambiance des jeux.
La différence notable dans cette adaptation se situe au niveau de certains personnages. Le Roi fait son apparition (on ne le voit pas dans les deux jeux) et les morceaux de la Triforce sont doués de parole. Zelda n’est plus la pauvre princesse à sauver - même si elle se retrouve parfois en mauvais posture - mais une femme courageuse prête à se battre quand il le faut avec son arbalète ou son arc à flèches magiques. La belle robe a ainsi disparu laissant place à une tenue plus décontractée de cavalière. Quant à Link, hormis la tâche qui lui est confiée, il ne cessera de chercher à conquérir le cœur de la belle Zelda en espérant d’elle un bisou. Quand il n’essuie pas un refus, un événement impromptu surgira toujours empêchant le pauvre Link d’avoir son baiser.
Ce sont toutes ces différences par rapport aux jeux vidéo ajoutées à des histoires dont les trames sont, en somme, toutes assez similaires d’un épisode à un autre qui ont fait que cette série d’animation n’aura pas obtenu un grand succès auprès des téléspectateurs et surtout auprès des fans. Ces derniers remarqueront que, comme dans le premier jeu vidéo, il n’est question que de deux morceaux de Triforce, celle de la Sagesse et celle de la Force. La Triforce du Courage n’apparaîtra qu’à partir de The Adventure of Link mais le dessin animé n’en parlera pas. À ce propos, selon les épisodes, ces diamants sont parfois appelés Triforce et d’autres fois Force Trois, un nom quelque peu douteux.
La série était une partie intégrante de Super Mario Bros. Ainsi tout comme le jeu vidéo homologue, chaque épisode bénéficiait d’une séquence introductive avec acteurs réels, en l’occurrence Mario et Luigi. Le générique de fin, quant à lui, était celui de Super Mario Bros avec quelques notes à part concernant le staff ayant travaillé spécifiquement sur Princesse Zelda. La série fut interrompue avec la fin du show de Mario si bien qu’il n’y a jamais vraiment eu de fin. Le dernier épisode de l’unique saison se finissant comme un épisode quelconque de la série.
Notons que les personnages de Ganon, Link et la princesse Zelda sont réapparus par la suite dans la série Captain N (Captain N: The Game Master), produite également par DIC, avec un design un peu différent toutefois.
En France, la diffusion de Princesse Zelda sur Antenne 2 (devenue France 2) aura été discrète mais remarquée. Deux cassettes VHS étaient sorties dans le commerce chez Polygram Vidéo mais aucun DVD n’est pour l’instant sorti en français.
Le doublage français du personnage de Zelda n’aura semble-t-il pas été simple puisqu'en seulement treize épisodes, la princesse a eu au moins quatre voix différentes. Elle pouvait même avoir deux voix différentes au cours d’un même épisode, entre sa voix dans le générique de début (identique visuellement mais rejoué à chaque fois) et sa voix dans l’épisode même.
(Featuring Paul Rudd)
#SkywardSwordHD #Zelda #NintendoSwitch
#SkywardSwordHD #Zelda #NintendoSwitch
#Zelda #SkywardSwordHD
zelda.com/skyward-sword-hd
#NintendoDirect #E32021#Zelda
#SkywardSwordHD #Zelda
zelda.com/skyward-sword-hd
Available now, only on Nintendo Switch.
Learn More Here: zelda.com/skyward-sword-hd
#NintendoSwitch #TheLegendOfZeldaSkywardSwordHD
Available July 16. Pre-order today! nintendo.com/games/detail/the-legend-of-zelda-skyward-sword-hd-switch
#Zelda #SkywardSword #NintendoSwitch
#CadenceOfHyrule #Zelda #NintendoSwitch
Hyrule Warriors: Age of Calamity arrives on November 20.
#HyruleWarriors #Zelda
Learn more when Hyrule Warriors: Age of Calamity releases on 11/20.
#HyruleWarriors #NintendoSwitch #Zelda
#HyruleWarriors #NintendoSwitch #Zelda
A demo of the game is available now! Give it a try before release on November 20.
zelda.com/hyrule-warriors/
#HyruleWarriors #Zelda #NintendoSwitch
Experience a new story set 100 years before the events of The Legend of Zelda: Breath of the Wild. Hyrule Warriors Age of Calamity launches on November 20.
zelda.com/hyrule-warriors
#HyruleWarriors #Zelda #NintendoSwitch
zelda.com/hyrule-warriors
zelda.com/hyrule-warriors/
#HyruleWarriors #Zelda
https://www.nintendo.fr/Jeux/Nintendo-Switch/Hyrule-Warriors-L-Ere-du-Fleau-1838129.html
Vos aventures en Hyrule continuent avec le pass d'extension d'Hyrule Warriors : L'Ère du Fléau !
#HyruleWarriors #Zelda #NintendoSwitch
Preorder today: zelda.com/hyrule-warriors/
#HyruleWarriors #Zelda #NintendoDirect
https://www.nintendo.fr/Jeux/Nintendo-Switch/Hyrule-Warriors-L-Ere-du-Fleau-1838129.html
Voyagez dans le passé d'Hyrule et tentez d'empêcher sa destruction dans Hyrule Warriors : L'Ère du Fléau, disponible le 20 novembre sur Nintendo Switch.
Pre-order now: zelda.com/hyrule-warriors
#Zelda #HyruleWarriors #NintendoSwitch
L'émission était produite par Richard Joffo, actuel Président de l'Académie Audiovisuelle et toujours producteur d'émissions TV.
Présentée d'abord seul par Jean-Michel Blottière (rédacteur en chef de Tilt) et par la suite en duo avec Delphine, l'émission traitait de l'actualité des jeux vidéo consoles et micros. Entre les reportages, deux équipes d'ados s'affrontaient autour d'une partie de jeu vidéo.
En 1995, à la suite d'une concurrence des autres chaînes dans le domaine des nouvelles technologies, dont M6 (Mega 6) et Canal Plus (Cyberflash et Cyberculture), les présentateurs sont remplacés par un animateur virtuel en forme de joystick : Dr Clic, avec la voix de Jean-Marie Burucoa dont le personnage était modélisé à Marseille sous la coordination d'Eric Chevalier pour France 3.
Au cours de ses sept années d'existence, près de 140 émissions furent diffusées. Lors de son arrivée sur la grille de FR3, l’émission était proposée le mercredi à 17h15. Après un passage par la case de 18 heures, Micro kid’s a été déplacée au dimanche matin 10h05 à partir de la saison 1992 / 1993 (le rendez-vous était déjà rediffusé le dimanche matin depuis son lancement). En janvier 1997, France 3 décide de changer sa case, pour une programmation le samedi à 9h30.
La diffusion de démos pendant le générique de fin contribua grandement à leur popularisation en France. Cette émission fut également un révélateur d'un nouveau courant musical utilisant à la fois les ordinateurs et les logiciels que sont les soundtrackers : un courant musical émergeant et parallèle au mouvement des DJs issus de la house et de la techno.